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Leçon de danse Chanson populaire

1er cours de danse sur "Chanson populaire" : Vue de dos

"La solitude c'est après"

"La solitude c'est après" aurait pu être une simple petite chanson de l'été 1976 mais elle est pourtant tellement plus que ça. Avec "Le spectacle est terminé" sortie en 1975, c'est une chanson à travers laquelle l'idole regarde sa vie d'homme, de l'autre côté du miroir lorsqu'il n'y a plus de caméra, plus de projecteurs, plus de public. Il y a cette lassitude du rideau qui tombe pour la 100 ème fois laissant l'artiste seul, loin des bravos, loin des strass et des paillettes, sans artifices. On sent dans cette chanson une espèce de nostalgie de l'enfance où tout était encore vrai. Ici, il joue, en permanence. Il joue le rôle du clown ou du chanteur à minettes. Il a donné à son public une "provision de rêves" mais que lui reste-t-il à lui après cet état de grâce qu'il éprouve lorsqu'il est sur scène ? Peu de chose en vérité. La solitude est d'autant plus troublante et même blessante que quelques minutes avant il était comme en communion avec des milliers de gens, des milliers d'inconnus qui à cet instant précis ne sont plus rien. D'ailleurs, ont-il été quelque chose ? Ce sont des cris et parfois des regards mais ce n'est jamais que ça... et après leur départ c'est le vide. Claude François constate dans ce titre à quel point il évolue dans un monde superficiel, artificiel, qui lui donne l'illusion d'être adoré et même adulé alors qu'en réalité il est seul, peut-être même plus seul que le commun des mortels. Et cette solitude douloureuse se fait chanson, l'une des plus jolies de sa carrière. Il l'interprètera en italien sous le titre "La solitudine" et en anglais :"Don't play that song again".

Béatrice

Rencontre avec des fans de Claude François

Ils connaissent tout ou presque ce qui touche à leur idole de toujours, Cloclo. Claude François est une icône pour eux. Il les fait encore aujourd'hui rêver, fantasmer. Les fans de Claude sont nombreux. Rencontre avec deux passionnés, chez eux, au travers de leur impressionnante collection d'objets en tous genres, et leur implication dans leur fan club ...

Extrait : Claude François et Philippe Bouvard

Portrait de Cloclo - vu par Patrick Juvet

Patrick Juvet a signé "Le lundi au soleil" pour Claude François. Témoignage en images de Patrick Juvet qui raconte la genèse de ce tube de Claude François ...

Album - Le mal aimé

Soyons sérieux. A-t-on le droit d’appeler un disque Le Mal Aimé lorsque l’on est l’idole des femmes ? Avant Johnny et son « Chanteur abandonné », Claude François tombait déjà dans le syndrôme de l’homme meurtri derrière la carapace de l’artiste. Le titre est encore une reprise, d’une chanson de David Cassidy, intitulée à l’origine « Daydreamer ».

Comme dit l’un des titres de l’album, « C’est toujours le même refrain » : « Heureusement tu penses à moi », « Toute ma vie je chanterai pour toi », « Vivre avec toi », « Tu es tout pour moi ». Au-delà de ces titres poussifs coécrits par Claude François, Jean-Pierre Bourtayre et Eddie Marnay, le chanteur avait le chic pour enregistrer une chanson populaire par album. Ici, « Le Téléphone pleure », avec la petite Frédérique Barkoff. Claude François disait de cette chanson qu’elle faisait office de remplissage. Résultat : 3 minutes 59 secondes de conversation culte et 2,8 millions d’exemplaires vendus. Le malheur sentimental fait toujours le bonheur des artistes.

Paula Haddad

1	Le mal aimé
2	Heureusement tu penses à moi
3	Toute ma vie je chanterai pour toi
4	Quand la pluie finira de tomber
5	Vivre avec toi
6	C'est toujours le même refrain
7	La musique américaine
8	Le téléphone pleure
9	Une fille suffit
10	La plus belle fille du monde
11	Tu es tout pour moi

Source Music Story© 2007

Leçon de danse Magnolias Forever

2eme cours de danse sur "Magnolias Forever" : Vue de face

Participez au Quizz Special Claude François

Extrait : Dominique Walter et Claude François "Le jouet extraordinaire"

Je soussigné ... Claude François

Rempli d'anecdotes, ce livre intitulé "Je soussigné ... Claude François" est de plus une oeuvre originale. Il s'agit de la "première autobiographie posthume". Fabien Lecoeuvre a rassemblé les interviews de l'artiste pour lui donner la parole et nous raconter à la première personne du singulier ses émotions, les étapes de sa vie... Un livre qui ravira les fans de Cloclo, qui ne manqueront pas de célébrer le 30 ème anniversaire de sa mort le 11 mars 2008.

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Mot de l'éditeur :

Au cours de sa carrière, Claude François, comme tous les hommes publics, a donné de nombreuses interviews aussi bien pour la télévision, la radio et la presse écrite. A chaque fois, c’était pour lui l’occasion de se révéler, de lever le voile sur sa personnalité complexe et de dire ce qu’il avait sur le coeur. Avec l’accord de ses fils, Fabien Lecoeuvre, le biographe officiel du chanteur, a eu l’idée de réunir tous les propos de Cloclo, en les restituant dans leur contexte. Au fil des mots, au détour des phrases, apparait ainsi la première autobiographie «posthume» pleine d’émotion, de passion et de vérité. Disparu le 11 mars 1978, Claude François redevient, grâce à ce livre, soudain étonnamment vivant. En veillant scrupuleusement à respecter sa façon de découper les phrases, en retranscrivant sa ponctuation et ses respirations, Fabien Lecoeuvre nous donne l’impression d’entendre parler Claude François qui devient dès lors l’auteur de cet ouvrage.
En lisant ce livre, la voix du chanteur résonne encore pour nous parler de sa vie. On l’écoute avec attention lorsqu’il nous livre ses confidences. Comme un défi au temps et à la mort qu’il redoutait tant, on découvre le texte d’une chanson inédite, «Le temps passe», écrit par l’artiste peu de temps avant sa disparition accidentelle, et qu’il devait enregistrer pour l’été 1978. Ses propos sont l’histoire d’une revanche. On perçoit les déterminations, les contradictions et les enthousiasmes d’un homme de spectacle mais aussi parfois les failles et les fêlures d’un être passionnant, dont les idées évoluent avec les années. Dans cet ouvrage, le chanteur qui avait dédié son destin à son métier, tombe l’armure scintillante de paillettes pour se dévoiler sans fards, authentique et déterminé.

Editeur : Albin Michel